Premier enregistrement de cantates de Georg Christoph Strattner : une révélation !

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Ich will den Herrn loben allezeit.  Georg Christoph Strattner (c1644-1705) : Ich will den Herrn loben allezeit ; Ach mein Vater, ich hab gesündiget ; Getreuer Schöpfer ; Ich stelle mich bein meinem Leben ; Du Hirt Israel, höre ; Herr, der du uns hast anvertraut ; O Gott, du Ursprung aller Liebe. Miriam Feuersinger, Monika Mauch, sopranos. Alexander Schneider, alto. Daniel Schreiber, ténor. Markus Flaig, basse. Les Escapades. Cosimo Stawiarski, Christoph Riedo, violons. Simon Linné, théorbe. Evelyn Laib, orgue. Sabine Kreutzberger, Franziska Finckh, Barbara Pfeifer, violes de gambe. Adina Scheyhing, viole de gambe et violone. Septembre 2020. Livret en allemand, anglais ; texte des chants en allemand non traduit. TT 60’17. Christophorus CHR 77454

Réédition bienvenue des Trios à clavier de Beethoven par le Trio Suk

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Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Intégrale des Trios à clavier op. 1 n° 1 à 3 ; n° 4 op. 11 ; n° 5 op. 70 n° 1 « des Esprits » et n° 6 op 70 n° 2 ; n° 7 op. 97 « Archiduc » ; n° 8 WoO38 ; Allegretto, WoO39. 14 Variations op. 44. 10 Variations op. 121a. Trio Suk (Josef Hála, piano ; Josef Suk, violon ; Joseph Chuchro, violoncelle). 1983-1984. Notice en anglais, en allemand, en français et en tchèque). 257.21. Un coffret de quatre CD Supraphon SU 4297-2.

A la découverte des œuvres symphoniques du Polonais Witold Maliszewski

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Witold Maliszewski (1873-1939) : Symphonies n° 1 en sol mineur op. 8, n° 2 en la majeur op. 12, n° 3 en do mineur op. 14 et n° 4 en en ré majeur op. 21. Ouverture joyeuse, op. 11. Scherzo et Ouverture en l’honneur de Schubert (complément à la Symphonie « Inachevée »). Conte de fée, op. 30. Légende, op. 31. Orchestre philharmonique d’Opole Józef Elsner, direction Przemyslaw Neumann. 2018-2020. Notice en polonais, en anglais et en russe. 197.32. Un album de trois CD Dux 1716/1718.

Premier disque de Joë Christophe : la clarinette sensible et intelligente qui n’a pas attendu le nombre des années

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Idylle. Joseph Horovitz (*1926) : Sonatina for clarinet and piano. Philippe Gaubert (1879-1961) : Fantaisie. Claude Debussy (1862-1918) : Petite Pièce ; Première Rhapsodie. Mark Simpson (*1988) : Three Pieces for solo clarinet. Rebecca Clarke (1886-1979) : Morpheus pour alto et piano (transcr.). Francis Poulenc (1899-1963) : Sonate pour clarinette et piano. Eugène Bozza (1905-1991) : Idylle. Joë Christophe, clarinette. Vincent Mussat, piano. Février 2021. Livret en anglais, allemand, français. TT 62’20. Genuin GEN 21721

Karl Böhm au festival de Lucerne 

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Paul Hindemith (1895-1963) : Concerto pour vents, harpe et orchestre ; Anton Bruckner (1824-1896) : Symphonie n°7 en mi majeur WAB 107. Werner Tripp, flûte ; Gerhard Turetschek, Hautbois ; Ernst Pamperl, basson ; Hubert Jelinek, harpe. Wiener Philharmoniker, Karl Böhm. 1964 et 1970. Livret en anglais, allemand et français. 78’13’’. Audite 95.649. 

Les offrandes amoureuses de la pianiste Angela Hewitt

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Love Songs. Robert Schumann (1810-1856), arr. Franz Liszt (1811-1886) : Liebeslied ‘Widmung’ S566 ; Frühlingsnacht. Robert Schumann, arr. Leopold Godowski (1870-1938) : Du bist wie eine Blume op. 25 n° 4. Franz Schubert (1797-1828), arr. Franz Liszt : Ständchen ‘Leise flehen’, seconde version S560 n° 7. Franz Schubert, arr. Gerald Moore (1899-1987) : An die Musik D547. Richard Strauss (1864-1949), arr. Walter Gieseking (1895-1956) : Freundliche Vision op. 48 n° 1. Richard Strauss, arr. Max Reger (1875-1916) : Morgen ! op. 27 n° 4 ; Nachtgang op. 29 n° 3 ; Allerseeelen op. 10 n° 8 ; Cäcilie op. 27 n° 2. Christoph Willibald Gluck (1714-1787), arr. Wilhelm Kempff (1895-1991) : Lamentation d’Orphée & Danse des esprits, d’après Orfeo e Euridice. Gottfried Heinrich Stölzel (1690-1749), arr. Angela Hewitt (°1958) : Bist du bei mir, tiré de Diomedes. Gustav Mahler (1860-1911), arr. Angela Hewitt : Adagietto de la Symphonie n° 5. Edvard Grieg (1843-1907) : Dernier printemps op. 34 n° 2 ; Ich liebe dich op. 41 n° 3. Gabriel Fauré (1845-1924), arr. Percy Grainger (1882-1961) : Nell op. 18 n° 1. Manuel de Falla (1876-1946), arr. Ernesto Halffter (1905-1989) : Siete canciones populares españolas, extraits. George Gershwin (1898-1937), arr. Percy Grainger : Love walked in. Percy Grainger, arr. Alexander Siloti (1863-1949) : Irish tune from County Derry. Angela Hewitt, piano. 2020. Notice en anglais. 75.57. Hyperion CDA68341.

Ouverture mémorielle à l’OPMC : Beethoven par Kazuki Yamada

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L'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo nous offre pour débuter cette nouvelle saison un monument de la musique classique : la Symphonie n°9 de Beethoven.

Le programme de ce concert était prévu la saison passée, mais pour des raisons sanitaires il était impossible de faire venir le Chœur de l'Orchestre Symphonique de Londres comptant plus de 80 chanteurs.

Ce concert d'ouverture de la saison 2021-22 se couvrait d’émotion car l'événement  était dédié au Maestro Gianluigi Gelmetti, ancien Directeur artistique et musical de la phalange et chef honoraire depuis 2016, qui nous a quittés au mois d'août. Trait d’union dans l’histoire de l’orchestre : c’est  Gelmetti qui avait dirigé, il y a 8 ans, cette symphonie de Beethoven pour la dernière fois à Monaco. 

Dans  un texte publié dans  le programme, Kazuki Yamada rend hommage à son prédécesseur qu'il a entendu à l'âge de 16 ans lors d'une tournée au Japon et qui l'a inspiré à se lancer dans la direction d'orchestre. Après une minute de silence, le concert commence par l'ouverture Léonore II de Beethoven que Kazuki Yamada dirige avec énergie, vigueur et éloquence. 

Dès les premières mesures de symphonie, Yamada se montre en très grande forme et fait briller l'orchestre de tous ses feux. L'introduction provoque un sentiment d’attente, de mystère et d’interrogation et l'orchestre se déploie progressivement d'un pianissimo dans un grand crescendo, guidé par une direction qui gère les gradations avec le sens du drame requis :  c'est vigoureux, imposant et majestueux. Tout au long de la partition, le maestro japonais cerne l’esprit des mouvements ciselant les interventions solistes avec le sens des couleurs requises.  

Hervé Billaut et Guillaume Coppola à quatre mains dans une Espagne vue de France

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Manuel de Falla (1876-1946) : Deux danses espagnoles (extraites de l’opéra La Vida breve – transcription pour piano à 4 mains de Samazeuilh) – Maurice Ravel (1875-1937) : Rapsodie espagnole (version originale pour piano à quatre mains) – Mel Bonis (1858-1937) : Habanera (extrait de Pièces à 4 mains, op. 130/5) ; Les Gitanos, op.15–2 – Vincent d’Indy (1851-1931) : Seguidilla à l’Alameda de Séville (extrait de Sept chants de terroir, op.73/3) – Moritz Moszkowski (1854-1925) : Nouvelles danses espagnoles, op.65 – Gabriel Fauré (1845-1924) : Le Pas espagnol (extrait de Dolly, Six pièces, op. 56/6) – Emmanuel Chabrier (1841-1894) : España, rapsodie pour orchestre (transcription pour piano à 4 mains par André Messager). Hervé Billaut et Guillaume Coppola, piano à quatre mains. 2020. 52m 03s. Livret en français et en anglais. Eloquentia EL2158.

Widor, intégrale de l’œuvre d’orgue sur trois Cavaillé-Coll et principalement à La Madeleine

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Charles-Marie Widor (1844-1937) : les dix Symphonies opus 13, 42, 70, 73. Suite latine Op. 86. Trois Nouvelles Pièces Op. 87. Bach’s Memento. Marche Américaine (trans. M. Dupré). Marche Nuptiale (Conte d’avril no 6). Joseph Nolan, orgues de l’église La Madeleine de Paris, de la Basilique Saint-Sernin de Toulouse, de l’église Saint-François de Sales de Lyon. Mai 2011, mai 2013, mai 2014 (réédition). Livret en anglais. Coffret de 8 CDs. TT 459’. Signum SIGCD596