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Vincent d’Indy, symphonie italienne

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Les éditions Symétrie de Lyon, dans le cadre de leur série sur la musique pour orchestre de compositeurs romantiques français, proposent le matériel d’orchestre, le conducteur d’étude et de direction de la Symphonie n°1 en la majeur “Italienne” de Vincent d’Indy.

Restée longtemps inédite, elle est un jalon dans l’oeuvre d’un jeune compositeur qui se cherchait une voie entre l’ambition d’une carrière militaire et le métier de la musique. Un voyage en Italie, récompense à une réussite au baccalauréat, lui ouvrit d’autres perspectives qu’une vie sabre au clair ! Cette symphonie fut également la première de ses oeuvres orchestrales jouées sur scène par l’Orchestre Pasdeloup. Le succès fut au rendez-vous et le jeune homme reçut les félicitations de ses aînés Georges Bizet et Jules Massenet. Mais allant de l’avant, le compositeur la délaissa cette pour se consacrer à une autre oeuvre symphonique ambitieuse : Wallenstein.

L’écran musical

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Sous la direction de Jérôme Rossi, La Musique de film en France. Courants, spécificités, évolutions, préface de Gilles Mouëllic. Éd. Symétrie, coll. « Symétrie Recherche », 458 p.
Camille Saint-Saëns un précurseur ? Non, il ne l’a pas vraiment été. Sauf qu’il est le premier, en 1908, à avoir composé une partition pour un ensemble instrumental spécifiquement destinée à un film : L’Assassinat du duc de guise, la deuxième réalisation d’André Calmettes.