Mots-clé : Edvard Grieg

Voyage à travers les paysages printaniers nordiques

par

Edvard Grieg
(1843-1907)
Mens Jeg Venter; Den hvide, røde Rose; Jeg giver mitt Dikt til Våren; En Fuglevise; To brune øyne
Hugo Wolf (1860-1903)
Auch kleine Dinge können uns entzücken; Mir ward gesagt, du reisest in die Ferne; Du denkst mit einem Fädchen mich zufangen; Nein, junger Herr!; Ich hab’ in Penna einen Liebsten wohnen; Mausfallensprüchlein; Die Spröde; Die Bekehrte; Er ist’s
Richard Strauss (1864-1949)
Herr Lenz; Drei Lieder der Ophelia (1. Wie erkenn ich mein Treulieb vor andern nun? 2. Guten Morgen, ’s ist Sankt Valentinstag, 3. Sie trugen ihn auf der Bahre bloß); Ich schwebe wie auf Engelsschwingen
Agathe Backer-Grøndahl (1847-1907)

Les mélodies sont extraites du cycle Barnets vårdag
En Kviddrende Laerke; Vaarmorgen i skogen; Blomstersanking; Mot Kveld; Sov saa stille.

Mari Eriksmoen – soprano, Alphonse Cemin – piano
2015-DDD-47’12- Textes de présentation en français, en anglais et en allemand-Alpha 207

La spontanéité d’Aldo Ciccolini

par

© Bernard Martinez

Johannes Brahms (1833-1897) : Quatre Ballades, op.10
Edvard Grieg (1843-1907) : Sonate pour piano en mi mineur, op.7
Franz Schubert (1797-1828) : Sonate pour piano en si bémol majeur, D 960
A l’issue du concert à Flagey d’Aldo Ciccolini, seul le silence nous entoure. Après une telle soirée, sommes-nous habilité ou tout simplement capable d’exprimer un commentaire sur ce qu’il vient de se dérouler ? Car si le travail du critique ou du commentateur peut s’avérer périlleux voire déplaisant en certaines occasions, il n’en demeure pas moins un moment de partage, de découverte.