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Naissance du label Ohuaya, entre Inuits et mammifères marins

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Humain non humain : Chants d’espèces (I) et Grands espaces (II). Oeuvres de  Thierry Pécou (1965-) : Médiation sur la fin de l'espèce, Mada la baleine, Sonata, Nanook Trio, Sikus, Chant InuitFrançois-Bernard Mâche (1935-) : Vigiles et Richard Blackford (1954-)  : Murmurations. Ensemble Variances. Double album digital. 84’15 – 2021 – Livret en : français et anglais. Ohuaya Records (21 Music)

Voir et revoir : quelques streamings en temps de confinement et de couvre-feu 

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 Crescendo-Magazine vous propose une sélection de quelques beaux concerts ou documentaires à voir ou revoir. Pour cette première sélection hebdomadaire cap sur Lille pour un superbe concert de l’Orchestre national de Lille sous la direction d’Alexandre Bloch. Au programme le Concerto pour orgue et orchestre avec de Thierry Escaich et la Symphonie d’Ernest Chausson. 

L’orchestre national de Lille poursuit ses explorations de la musique française avec un concert consacré à Parade d’Erik Satie et aux Forains d’Henri Sauguet. Le chef d’orchestre  Timothy Brock sera au pupitre avec la complicité de l’illustrateur Grégoire Pont pour ce concert à destination des petits (dès 8 ans) et des grands. C’est à voir dès samedi 23 janvier à 16h. 

 On reste avec de la musique française mais un axe Paris-Tokyo. L’Orchestre philharmonique de Luxembourg dirigé par Kazuki Yamada propose le superbe How Slow the Wind de Tōru Takemitsu, la Petite suite de Claude Debussy  (dans l’orchestration d’Henri Büsser) et le Concerto pour piano (dit en sol) de Maurice Ravel avec Pierre-Laurent Aimard. 

Florent Schmitt, le retour des incunables en numérique 

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En cette veille de la date anniversaire du compositeur Florent Schmitt dont on célèbre les 150 ans de la naissance, Crescendo Magazine se penche sur les enregistrements incunables de son oeuvre tout récemment mis en format digital par le label Warner Classics. 

Il est des enregistrements qui au fil des ans atteignent le statut de légende et il en va ainsi de cette affiche proposant la Tragédie de Salomé dans la version pour grand orchestre de Florent Schmitt et La Péri de Paul Dukas par l’Orchestre de l’Opéra de Paris sous la direction de Pierre Dervaux. C’est enregistré en 1957 et cette gravure d’une justesse stylistique sans pareille est un régal des sonorités des orchestres français d’alors. Une immense référence dirigée par l’un des grands sorciers de la musique française à la baguette narrative et poétique !