Mots-clé : Kubla

Irrésistible !

par

Gioachino ROSSINI
(1792 - 1868)
BIANCA E FALLIERO
O sia Il consiglio dei tre
Laurent KUBLA, Priuli, Kenneth TARVER, Contareno, Baurzhan ANDERZHANOV, Capellio, Marcin BANAS, Loredano, Victoria YAROVAYA, Falliero, Cinzia FORTE, Bianca, Marina VIOTTI, Costanza, Artavazd SARGSYAN, Pisani, CAMERATA BACH CHOIR, POZNAN, VIRTUOSI BRUNENSI, dir.: Antonio FOGLIANI
Enregistré en direct, Trinkhalle, Bad Wildbad (Allemagne) 18, 24, 26 juillet 2015- DDD- 3 CD- 2h 42' 50- Livret en anglais et allemand-Pas de texte- Chanté en italien- Naxos n°8-660407-09

Le tout dernier Don Juan, ce héros

par

Veronica Cangemi et Mario Cassi © Lorraine Wauters

Après le très inconnu Stradella de César Franck qui inaugurait le retour de l'Opéra Royal de Wallonie en ses murs après travaux, Jaco Van Dormael, cinéaste de son état, a mis en scène Don Giovanni, dont Wagner affirmait que c'était "l'opéra des opéras". Les décors de Vincent Lemaire sont criants de vérité et les lumières de Nicolas Olivier les mettent bien en valeur.

Une Bohème de plus ?

par

© Lorraine Wauters

Une Bohème de plus ? Oui et non. Sans doute, l'opéra de Puccini est-il l'un des plus représentés au monde. Nous l'avions revu, en décembre dernier, à Anvers, dans une mise en scène sobre et poignante de Robert Carsen (voyez la critique sur le site). L'oeuvre est tellement riche et intense que la revoir, la même saison, ne dérange pas du tout, au contraire : les chefs-d'oeuvre ne lassent pas.

A musique réjouissante, mise en scène plus réjouissante encore !

par

Werner Van Mechelen et Anneke Luyten

Die Lustigen Weiber von Windsor de Otto Nicolai
Coup de chapeau à l'Opéra Royal de Wallonie : il fallait oser programmer ces Joyeuses Commères de Windsor, oeuvre fort peu connue chez nous, hormis sa pétillante ouverture. Dans le monde germanique, elle se hisse au premier rang, aux côtés des oeuvres de Lortzing, Flotow, ou Cornelius, pour attester de la vigueur du Singspiel, équivalent de notre opéra-comique, et alternant donc chant et dialogues parlés.

Quand une certaine tradition a du bon...

par

J. Wilson, F. Hawlata et C. Forte © Croisier

Fidelio à Liège
On a beaucoup médi sur les mises en scène actuelles, où les maîtres-d’œuvres tirent la couverture à eux, subliment leurs propres fantasmes, lancent sexe et politique à jets continus et dénaturent la pièce qu'ils sont censés illustrer. Il est en ce sens rassurant d'assister à une lecture claire, nette et respectueuse de ce Fidelio.