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Une réjouissance avec deux concertos pour deux pianos

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Le 3 octobre dernier, le Rungis Piano-Piano Festival a présenté au Théâtre des Champs-Elysées un concert intitulé « Grands concertos romantiques ». Au programme, deux œuvres méconnues : les concertos pour deux pianos de Mendelssohn (n°2 en la bémol majeur MWV 06) et de Max Bruch (en la bémol mineur op. 88a). Le Duo Reflet, formé par Natsu Aoki et Kazune Mori, a ouvert la soirée avant de laisser place à Ludmila Berlinskaia et Arthur Ancelle, fondateurs du festival et de l’Académie Piano-Piano, accompagnés par l’Orchestre national de Lille sous la direction de Dmitri Liss.

Dès notre entrée dans la salle, nos regards sont attirés par les nouvelles conques acoustiques, dont les rayures verticales évoquent celles des colonnes qui encadrent la scène. Leur élégance classique aux couleurs crème et doré illumine la scène, mettant en valeur la forme et le noir éclatant des pianos Shigeru Kawai.

Dmitri Liss au sommet !

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Olga Victorova (*1960) : Quinlong Azure Dragon ; Dmitri Chostakovitch (1906-1975) : Symphonie n°10 en mi mineur, Op. 93. Phiharmonie Zuidnederland, Dmitri Liss, direction. 2019-DDD-58’50-Textes de présentation en anglais, français et néerlandais-Fuga Libera-FUG756

Tchaïkovski et Wagner, une évidence ?

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Richard Wagner (1813-1883) : “Vorspiel und Liebestod” (Tristan une Isolde) ; Pyotr Ilyich Tchaikovsky (1840-1893) : Symphonie n°4 en fa mineur, Op. 36. Philharmonie Zuidnederland, Dmitri Liss, direction. 2018-DDD-58’04-Textes de présentation en anglais, français et néérlandais-Fuga Libera-FUG754