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Le pianiste américain John Wilson sert avec passion Rachmaninov et Gershwin, mais aussi Earl Wild

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Serge Rachmaninov (1873-1943) : Sept mélodies, op. 4 n° 4, op. 14 n° 1, 2, 5 et 8, op. 21 n° 8 et op. 38 n° 5, transcrites pour le piano par Earl Wild. George Gershwin (1898-1937) : Trois Préludes. Earl Wild (1915-2010) : Fantaisie sur Porgy and Bess de Gershwin. John Wilson, piano. 2022. Notice en anglais, en allemand et en français. 58.36. Avie AV2635. 

Un panorama de John Ireland par John Wilson et ses musiciens 

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John Ireland (1879-1962) : Satyricon (ouverture) ; A Downland Suite (pour ensemble de cuivres, transcriptions pour cordes de John Ireland et Geoffrey Bush) ; Mai-Dun, rhapsody symphonique pour orchestre ; The Forgotten Rite, Prélude pour orchestre ; A London Overture ; The Holy Boy, arrangement pour orchestre à cordes du compositeur ; Epic March. Sinfonia of London, John Wilson. 2021. Livret en anglais, allemand et français. 67’16’’. Chandos. CHSA 5293. 

Rachmaninov par John Wilson 

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Serge Rachmaninoff (1873-1943) : L'île des morts en la mineur, Op.29 ; Vocalise, Op.34 n°14 en mi mineur (orchestration du compositeur), Symphonie n°3 en la mineur, Op.44. Sinfonia of London, direction : John Wilson. 2021. Livret en anglais, français et allemand. 67’47’’. Chandos. CHSA 5297.

Hollywood Soundstage avec John Wilson 

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Erich Wolfgang Korngold (1897-1957) : Ouverture de The Private Lives of Elizabeth and Essex ; David Raskin (1912-2004) : Thème de Laura ; Herbert Stothart (1885-1949) / Harold Arlen (1905-1986) : Suite tirée de The Wizard of Oz ; Frederick Loewe (1901-1988) : Transylvanian March and Embassy Walz de My Fair Lady ; Max Steiner (1888-1971) : Suite tirée de Now, Voyager ; Johnny Mandel (1925-2020) : Thème principal de The Sandpiper ; Franz Waxman (1906-1967) : Suite de Rebecca ; Alfred Newman (1900-1970) : Scène tirée de How to Marry a Millionaire. Andy Wood, trombone ; Michael Lovatt, trompette : Sinfonia of London, direction : John Wilson. 2021. Livret en anglais, allemand et français. 60’49’’. Chandos. CHSA 5294. 

John Wilson et Ravel 

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Le chef d’orchestre John Wilson fait paraître un album intégralement consacré à des oeuvres symphoniques de Maurice Ravel au pupitre de son Sinfonia of London (Chandos). Cet enregistrement présente, en première mondiale, les éditions révisées Ravel Edition des versions ballet de Bolero et Ma Mère l’Oye.  

Votre nouvel enregistrement est entièrement consacré à des œuvres de Maurice Ravel. Que représente pour vous Maurice Ravel en tant que compositeur de son temps ?

Ravel est peut-être mon compositeur préféré -je suis fasciné par sa musique depuis que je suis enfant et mon intérêt et mon appréciation de sa musique ne font qu’augmenter avec les années.  On parle beaucoup de sa technique orchestrale éblouissante et du modernisme de son langage harmonique -surtout dans la musique pour piano- mais cela fait parfois oublier à quel point ses idées sont inspirées.  Si le niveau d'invention brute n'était pas à la hauteur, la musique n'était pas fixée sur le papier à musique.  C'est pourquoi nous disposons d'un ensemble d'œuvres étonnamment accomplies et imaginatives, qui sont presque toutes jouées en permanence. 

Cet enregistrement comprend les versions originales (ballets) de Bolero et de Ma Mère l'oye. Quelles sont les particularités de ces versions originales par rapport à celles qui sont régulièrement jouées en concert ? 

La version Ballet de Bolero diffère de la version de concert à plusieurs égards : petits changements dans les figures d'accompagnement, changements dans la longueur des notes de la mélodie à certains endroits -mais la différence vraiment significative est que le célèbre motif de tambour latéral n'est pas joué par un seul batteur mais est partagé entre deux joueurs, en alternance à chaque énoncé du thème.  Sur la dernière répétition de la mélodie, Ravel ajoute également un triangle et des castagnettes, ce que je trouve vraiment passionnant.

L'histoire de Ma Mère l'oye est plus complexe. Le ballet de 1912 n'a pas été publié du vivant de Ravel et les documents que Durand a publiés vers 1970 sont des réimpressions de la suite originale en 5 mouvements avec des ajouts.  Ce n'est pas ce que l'on entendait en 1912 et la nouvelle édition Ravel Edition est basée sur le matériel source original du ballet.  L'auditeur remarquera une répétition inattendue dans un passage et plusieurs mesures supprimées ailleurs -ainsi que d'innombrables petits changements de divers détails.

Cet enregistrement de Bolero et de Ma Mère l'Oye est le premier à être réalisé avec les éditions révisées de l'édition Ravel. Vous avez également dirigé la première de l'édition révisée de Ma Mère l'Oye au printemps 2021. Pourquoi est-il important pour vous d'offrir au public des éditions révisées basées sur les connaissances musicales les plus récentes ?  

La musique de Ravel est richement complexe et difficile à jouer. Les anciennes éditions sont souvent truffées d'erreurs et d'imprécisions. Il est essentiel que les musiciens disposent du texte correct et que leurs parties soient bien agencées si nous voulons avoir une chance de réaliser la vision de Ravel exactement comme il l'a rêvée !

Dutilleux de jeunesse avec John Wilson 

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Henri Dutilleux (1916-2013) : Le Loup ; Sonatine pour flûte (orchestration de Kenneth Hesketh) ; Sonate pour hautbois (orchestration de Kenneth Hesketh) ; Sarabande et Cortège pour basson et orchestre (orchestration de Kenneth Hesketh). Adam Walker, flûte : Juliana Koch (hautbois) ; Jonathan Davies (basson), Sinfonia of London, John Wilson. 2020. Livret en : anglais, français et allemand. 56’23’’. Chandos. CHSA 5263.