Mots-clé : Genia Kühmeier

Mariss Jansons choral

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Arvo Pärt (né en 1935) : Berliner Messe pour choeur et orchestre à cordes ; Francis Poulenc (1899-1963) : Stabat mater pour soprano, choeur et orchestre, FP 148 ; Igor Stravinsky (1882-1971) : Symphonie de Psaumes. Genia Kühmeier, soprano ; Chor und Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks, Mariss Jansons. 2005, 2007 et 2009. Livret en allemand et anglais. Textes chantés en latin. Traduction en anglais et allemand. 78’05’’. BR Klassik. 900201. 

Ouverture mémorielle à l’OPMC : Beethoven par Kazuki Yamada

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L'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo nous offre pour débuter cette nouvelle saison un monument de la musique classique : la Symphonie n°9 de Beethoven.

Le programme de ce concert était prévu la saison passée, mais pour des raisons sanitaires il était impossible de faire venir le Chœur de l'Orchestre Symphonique de Londres comptant plus de 80 chanteurs.

Ce concert d'ouverture de la saison 2021-22 se couvrait d’émotion car l'événement  était dédié au Maestro Gianluigi Gelmetti, ancien Directeur artistique et musical de la phalange et chef honoraire depuis 2016, qui nous a quittés au mois d'août. Trait d’union dans l’histoire de l’orchestre : c’est  Gelmetti qui avait dirigé, il y a 8 ans, cette symphonie de Beethoven pour la dernière fois à Monaco. 

Dans  un texte publié dans  le programme, Kazuki Yamada rend hommage à son prédécesseur qu'il a entendu à l'âge de 16 ans lors d'une tournée au Japon et qui l'a inspiré à se lancer dans la direction d'orchestre. Après une minute de silence, le concert commence par l'ouverture Léonore II de Beethoven que Kazuki Yamada dirige avec énergie, vigueur et éloquence. 

Dès les premières mesures de symphonie, Yamada se montre en très grande forme et fait briller l'orchestre de tous ses feux. L'introduction provoque un sentiment d’attente, de mystère et d’interrogation et l'orchestre se déploie progressivement d'un pianissimo dans un grand crescendo, guidé par une direction qui gère les gradations avec le sens du drame requis :  c'est vigoureux, imposant et majestueux. Tout au long de la partition, le maestro japonais cerne l’esprit des mouvements ciselant les interventions solistes avec le sens des couleurs requises.  

Mariss Jansons et la musique sacrée de Beethoven

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Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Messe en ut majeur, Op. 86Leonore, Ouverture n°3. Symphonieorchester und chor des Bayerischen Rundfunks, Mariss Jansons, direction – Genia Kühmeier, soprano – Gerhild Romberger, alto – Maximilian Schmitt, tenor – Luca Pisaroni, basse. 2018-DDD-60’20-Textes de présentation en anglais et allemand-Br Klassik-900170