Mots-clé : Maximilian Schmitt

René Jacobs donne une superbe version du Freischütz 

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Carl Maria von Weber (1786-1826) : Der Freischütz. Opéra romantique en trois actes, op. 77. Christian Immler, basse (L’Ermite) - Polina Pasztircsák, soprano (Agathe)- Kateryna Kasper, soprano (Ännchen) - Maximilian Schmitt, ténor (Max), Yannick Debus, baryton (Kilian/Ottokar) - Matthias Winckhler, basse (Kuno) - Dimitry Ivaschenko, basse (Kaspar), Max Urlacher, (Samiel, rôle parlé); Zürcher Singakademie; Freiburger Barockorchester, direction :  René Jacobs. 2022.  Notice et livret complet en français, anglais et allemand. 138'. 1 coffret de 2 CD Harmonia Mundi.  HM 902700.01

Herreweghe et la passion selon Saint-Jean de Bach : la ferveur d'abord

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Jean-Sébastien BACH : Passion selon Saint-Jean, BWV 245. Maximilian Schmitt, ténor ; Kresimir Strazanac, basse ; Dorothee Mields, soprano ; Damien Guillon, contreténor ; Robin Tritschler, ténor ; Peter Kooij, basse. Collegium Vocale Gent, direction Philippe Herreweghe. 2020. Livret en anglais, français, allemand et néerlandais. Textes en langue originale, traductions en anglais, français et néerlandais. 107.08. PHI PLH 031 (2 CD).

Mariss Jansons et la musique sacrée de Beethoven

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Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Messe en ut majeur, Op. 86Leonore, Ouverture n°3. Symphonieorchester und chor des Bayerischen Rundfunks, Mariss Jansons, direction – Genia Kühmeier, soprano – Gerhild Romberger, alto – Maximilian Schmitt, tenor – Luca Pisaroni, basse. 2018-DDD-60’20-Textes de présentation en anglais et allemand-Br Klassik-900170

Une « Neuvième » pleine de bonnes vitamines

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C’est une platitude que de dire que la Neuvième Symphonie de Beethoven appartient au patrimoine mondial de l’Humanité. Elle est, en quelque sorte, avec son message de joie et d’amour universels, avec pour la première fois l’utilisation de la voix humaine, l’aboutissement suprême de ce que peut être une symphonie dont l’étymologie (syn : avec et phônê : voix ou son) contient l’idée d’harmonie, d’unité, de fusion. Un concert avec « La Neuvième » (et cette expression suffira : pas besoin de préciser qu’il s’agit de Beethoven, ni même d’une symphonie) est, que l’on soit sur scène ou dans le public, un événement.

A l’Auditorium de Radio-France, c’est Emmanuel Krivine qui nous la proposait avec l’Orchestre National de France. C’est déjà leur troisième saison ensemble, et il faut en espérer encore bien d’autres !