Carl Maria von Weber (1786-1826) : Der Freischütz. Opéra romantique en trois actes, op. 77. Christian Immler, basse (L’Ermite) - Polina Pasztircsák, soprano (Agathe)- Kateryna Kasper, soprano (Ännchen) - Maximilian Schmitt, ténor (Max), Yannick Debus, baryton (Kilian/Ottokar) - Matthias Winckhler, basse (Kuno) - Dimitry Ivaschenko, basse (Kaspar), Max Urlacher, (Samiel, rôle parlé); Zürcher Singakademie; Freiburger Barockorchester, direction : René Jacobs. 2022. Notice et livret complet en français, anglais et allemand. 138'. 1 coffret de 2 CD Harmonia Mundi. HM 902700.01
Franz Joseph Haydn (1732-1809) : Die Schöpfung. Hanna-Elisabeth Müller, soprano ; Maximilian Schmitt, ténor ; Michael Volle, baryton ; Veta Pilipenko, mezzo-soprano. Orchestra e Coro del Maggio Musicale Fiorentino, Zubin Mehta. 2020. Livret en anglais et italien. 110’13. DYNAMIC CDS 7909.02.
Joseph Haydn (1732-1809) : La Création. Anna Lucia Richter, soprano ; Maximilian Schmitt, ténor ; Florian Boesch, baryton. Giovanni Antonini, Il Giardino Armonico, Chœurs de la Radio bavaroise. Mai 2019. Livret en allemand, français, anglais (texte de l’oratorio en allemand & traduction bilingue). TT 100’08. Alpha 567
Jean-Sébastien BACH : Passion selon Saint-Jean, BWV 245. Maximilian Schmitt, ténor ; Kresimir Strazanac, basse ; Dorothee Mields, soprano ; Damien Guillon, contreténor ; Robin Tritschler, ténor ; Peter Kooij, basse. Collegium Vocale Gent, direction Philippe Herreweghe. 2020. Livret en anglais, français, allemand et néerlandais. Textes en langue originale, traductions en anglais, français et néerlandais. 107.08. PHI PLH 031 (2 CD).
Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Messe en ut majeur, Op. 86 – Leonore, Ouverture n°3. Symphonieorchester und chor des Bayerischen Rundfunks, Mariss Jansons, direction – Genia Kühmeier, soprano – Gerhild Romberger, alto – Maximilian Schmitt, tenor – Luca Pisaroni, basse. 2018-DDD-60’20-Textes de présentation en anglais et allemand-Br Klassik-900170
C’est une platitude que de dire que la Neuvième Symphonie de Beethoven appartient au patrimoine mondial de l’Humanité. Elle est, en quelque sorte, avec son message de joie et d’amour universels, avec pour la première fois l’utilisation de la voix humaine, l’aboutissement suprême de ce que peut être une symphonie dont l’étymologie (syn :avec et phônê : voix ou son) contient l’idée d’harmonie, d’unité, de fusion. Un concert avec « La Neuvième » (et cette expression suffira : pas besoin de préciser qu’il s’agit de Beethoven, ni même d’une symphonie) est, que l’on soit sur scène ou dans le public, un événement.
A l’Auditorium de Radio-France, c’est Emmanuel Krivine qui nous la proposait avec l’Orchestre National de France. C’est déjà leur troisième saison ensemble, et il faut en espérer encore bien d’autres !