Le 6e « Festival Next Generation » au Grand Resort Hotel Bad Ragaz
Entourée par les Alpes, la cité de Bad Ragaz, dans le canton de St-Gall (Suisse), est connue depuis le 19e siècle pour ses sources thermales. En 2011, l'hôtel "Grand Resort Bad Ragaz" a eu l'idée d'inviter en ses murs la musique classique. A quelques kilomètres de Bad Ragaz s’est posée l' « Internationale Musikakademie im Principauté du Liechtenstein », au Lichtenstein donc. Drazen Domjanic en est le directeur. Pourquoi chercher loin lorsqu'on peut trouver si près ?
... vraisemblablement destinée aux malentendants !
Un ouvrage tel que ‘La Forza del Destino’ à l’orchestration importante (avec les bois et les trompettes par deux, les cors et trombones par quatre, percussion, orgue et cuivres en coulisse) peut-il être donné en version de concert ?
Maurice Ravel (1875-1937) : Le tombeau de Couperin César Franck (1822-1890) : Le chasseur maudit, poème symphonique, M 44 Johannes Brahms (1833-1897) : Concerto pour piano et orchestre n°1 en ré mineur, op. 15 Orchestre National de Belgique, Andrey Boreyko, direction – Nikolai Lugansky, piano
Orchestre National de Belgique/Andrey Boreyko, direction/Nikolai Lugansky, piano L’événement marquant de ce concert de l’Orchestre National se produisant devant une salle très bien remplie fut sans conteste un exceptionnel Concerto n° 1 pour piano et orchestre de Brahms que Nikolai Lugansky survola véritablement de sa classe, secondé par un chef complice et un orchestre transcendé.
Lauréat des concours Arthur Rubinstein et Tchaikovski en 2011, Daniil Trifonov vole depuis de triomphe en triomphe dans les salles de concert du monde entier et ses enregistrements ont été unanimement salués par la critique. Ce n’est donc pas trop dire que pour son premier récital bruxellois dans une salle Henry Le Boeuf comble, on sentait le frisson des grands soirs avant même l’arrivée sur scène du jeune pianiste russe qui avait choisi de se produire dans un programme axé sur la grande virtuosité romantique.
Lera Auerebach (°1973) : Icarus Dmitri Chostakovitch (1906-1975) : Concerto pour piano n°2 en fa majeur, op. 102 Pyotr Tchaïkovsky (1840-1893) : Symphonie n°4 en fa mineur, op. 36 Brussels Philharmonic, Stéphane Denève, direction – Boris Giltburg, piano
Richard Wagner (1813-1883) : « Vorspiel und Liebestod » (Tristan und Isolde) – Ingvar Lidholm (°1921) : Poesis – Antonin Dvorak (1841-1904) : Symphonie n°9 en mi mineur « du Nouveau monde », Op. 95 Koninklijk Concertgebouworkest, Herbert Blomstedt, direction
Johann Strauss fils (1825-1899) : La Chauve-Souris, « Ouverture »/ « Ich lade gern mir Gaste ein » - Une nuit à Venise, « Ouverture » - Franz Lehar (1870-1948) : La Veuve Joyeuse, « Ouverture »/ « Vilja Lied » - Giuditta, « Meine Lippen, sie küssen so heis » - Richard Heuberger (1850-1914) : Le Bal de l’opéra, « Im chambre séparée » - Jacques Offenbach (1819-1880) La Belle Hélène – Les Contes d’Hoffmann – La Périchole – La Grande-Duchesse de Gérolstein – La Vie Parisienne, extraits
Sergey Prokofiev (1891-1953) : Ouverture sur des thèmes juifs, op. 34bis – Concerto pour violon et orchestre en ré majeur, op. 19 – Roméo et Juliette, op. 64 (extraits) Orchestre National de Belgique, Andrey Boreyko, direction – Julia Fischer, violon
Orchestre National de France, Daniele Gatti (direction), Dezsö Ránki (piano) On quitte Bruxelles, ville morte, ce samedi, pour rejoindre Paris qui, huit jours après les tragiques attentats, peine encore à se remettre du choc. Il y a étonnamment peu de monde dans les rues, les commerces n’attirent plus grand monde, alors que restaurants et cafés sont bien moins remplis qu’à l’accoutumée, et la circulation inhabituellement fluide.