Les Concertos du Concours : le n°26 K. 537 de Mozart - Guide d'écoute

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Je ne sais plus qui disait que l’on appréciait toujours plus ce que l’on connaissait mieux…
C’est dans cette optique que nous allons passer en revue les concertos que nous entendrons au cours de cette « session piano » du Concours Reine Elisabeth.
Et nous commençons par les Concertos de Mozart que nous aurons l’occasion d’écouter à 24 reprises au cours des demi-finales, avec une nette préférence des candidats pour les Concertos K. 466 (choisi par 32 candidats sur 76) et K. 467 (choisi 20 fois) devant les K. 503et 537. Ce sont les quatre concertos qui ont été sélectionnés par le Concours.
Des problèmes de droit nous empêchent bien sûr de proposer l’écoute entière des enregistrements de ces concertos. Nous en avons donc extrait les éléments qui illustrent le propos. Par ailleurs, en cliquant sur l’intitulé de chaque mouvement, vous serez dirigés par le mouvement entier sur YouTube, de préférence par les mêmes interprètes que ceux qui illustrent les propos sur notre site.
La rubrique a été testée par des personnes de différents niveaux de connaissances musicales pour s’assurer qu’elle est « accessible » pour le plus grand nombre.

Rencontre : Fabian Fiorini, compositeur de l'oeuvre imposée

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Le concours entre cette semaine dans le vif du sujet avec les demi-finales. Les candidats joueront une œuvre imposée, écrite par le compositeur belge Fabian Fiorini. Nous l’avons rencontré dans une brasserie bruxelloise face à la gare du midi. Professeur de composition au Conservatoire Royal de Liège et pianiste de l'excellent Aka Moon, il est aussi un artiste engagé. Il se livre sur son art et sur le monde qui nous entoure. 

Rêver, Oser, Partager

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Ronald Zollman

Les derniers mots du propos d’introduction du Directeur résonnent encore quand l’orchestre attaque les premières mesures de l’Ouverture La Consécration de la Maison de Beethoven, une œuvre trop peu jouée qui célèbre les miracles de l’art. "Pour rêver, il suffit d’un seul homme. Pour oser, il faut être plusieurs et enfin pour partager il faut être ensemble."

Un premier petit bilan

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Il y a 24 élus sur les 76 candidats retenus des 318 vidéos envoyées par des candidats du monde entier. Les chiffres et les nationalités n'ont plus pour but de faire le relevé des "Grandes Ecoles de Piano" comme c'était le cas naguère, mettant "en compétition" la Juilliard School de New York et le Conservatoire de Moscou. Dans le jury d'alors, de hauts représentants de chacune des Ecoles, des délibérations à n'en plus finir, des joutes oratoires, des combats homériques. Qui des Russes ou des Américains, et surtout combien, occuperaient les trois premières places ?

Par-delà les temps, Gluck est parfait, même en 1952

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Christoph Willibald GLUCK
(1714-1787)
Iphigénie en Tauride
Patricia NEWAY (Iphigénie), Pierre MOLLET (Oreste), Léopold SIMONEAU (Pylade), Robert MASSARD (Thoas), Solistes, Ensemble Vocal de Paris, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire de Paris, dir.: Carlo Maria GIULINI
2016-67'59'' et 48'45''-Notice en allemand et en anglais-chanté en français-Hänssler 2 CD PH16008

Rencontre : Catherine Miller

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Le Concours est une vaste entreprise qui mobilise toute une équipe bien au-delà du traditionnel mois de mai. Pour que chacun puisse en prendre la mesure, nous publions chaque jour un compte-rendu, une interview,… qui éclaire ce travail de l’ombre.
Aujourd’hui, nous donnons la parole à Catherine Miller, archiviste... mais beaucoup plus encore

Les Concertos du Concours : le n° 21 K. 467 de Mozart - Guide d'écoute

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Je ne sais plus qui disait que l’on appréciait toujours plus ce que l’on connaissait mieux…
C’est dans cette optique que nous allons passer en revue les concertos que nous entendrons au cours de cette « session piano » du Concours Reine Elisabeth.
Et nous commençons par les Concertos de Mozart que nous aurons l’occasion d’écouter à 24 reprises au cours des demi-finales, avec une nette préférence des candidats pour les Concertos K. 466 (choisi par 32 candidats sur 76) et K. 467 (choisi 20 fois) devant les K. 503 et 537. Ce sont les quatre concertos qui ont été sélectionnés par le Concours.
Des problèmes de droit nous empêchent bien sûr de proposer l’écoute entière des enregistrements de ces concertos. Nous en avons donc extrait les éléments qui illustrent le propos. Par ailleurs, en cliquant sur l'intitulé de chaque mouvement, vous serez dirigés par le mouvement entier sur YouTube, de préférence par les mêmes interprètes que ceux qui illustrent les propos sur notre site.
La rubrique a été testée par des personnes de différents niveaux de connaissances musicales pour s’assurer qu’elle est « accessible » pour le plus grand nombre.

Une certaine France joyeuse

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Francis POULENC
(1899-1963)
Sextuor pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson et piano
Jacques IBERT
(1890-1962)
Trois pièces pour flûte, hautbois, clarinette, cor et basson
Darius MILHAUD
(1892-1974)
La Cheminée du roi René op. 205
Jean FRANÇAIX
(1912-1997)
L’Heure du berger
Gruppo di Tempera
DDD–2015–47’ 04’’–Texte de présentation en polonais et en anglais–DUX 1232

Les Musiciens et la Grande Guerre (6)

par

Volume XI. Chant de guerre
Oeuvres pour harmonium de Florent Schmitt, Joseph Jongen, Alfredo Casella, Sigfrid Karg-Elert et Aymé Kunc
Emmanuel Pelaprat (harmonium), Ensemble Double Expression
2016-61'45''-Textes de présentation en français et en anglais-Hortus 711