Goerne et Aimard à Bozar
Le programme de cette soirée, soigneusement concocté par Matthias Goerne et Pierre-Laurent Aimard, était tout entier placé sous le thème de la finitude et du sens de la vie
Le programme de cette soirée, soigneusement concocté par Matthias Goerne et Pierre-Laurent Aimard, était tout entier placé sous le thème de la finitude et du sens de la vie
La Monnaie offre donc une nouvelle production de Lulu, l’opéra cruel d’Alban Berg (mise en scène Krzystof Warlikowski). Le metteur en scène a décidé de mettre en avant le côté professionnel de Lulu, son métier de danseuse et pour ce faire, il fait appel au Koninklijke Balletschool Antwerpen.
Enfant chéri des salles de concert depuis toujours, Krystian Zimerman nous revenait ce soir avec un programme qui sacrifiait au respect des anniversaires, celui de Debussy en l'occurrence, avec lequel il a toujours nourri des affinités particulières.
Une soirée festive, entièrement consacrée aux oeuvres pour plusieurs clavecins de Jean-Sébastien Bach.
Dos au public et le piano face à l'orchestre, Pierre-Laurent Aimard, accompagné par la Philharmonie de Chambre de Brême, s'en est donné à coeur joie durant toute une longue soirée, dans un programme éclectique mais d'une grande cohérence.
Pour son premier concert en tant que directeur musical, Andrey Boreyko s'est lancé dans un programme passionnant: le Concerto pour violon et orchestre en ré majeur op.77 de Brahms et la Symphonie fantastique d’Hector Berlioz.
Pour ouvrir sa saison, le Théâtre du Capitole a choisi Rienzi, grand opéra tragique en cinq actes de Richard Wagner. Le compositeur dont les maisons d’opéra célébreront abondamment le 200e anniversaire en 2013 -surtout avec des représentations du Ring des Nibelungen- décrivait Rienzi comme «cet opéra où l’on trouve le feu, l’éclat que cherche la jeunesse».
Il est devenu courant, ces dernières années, de proposer des reconstitutions de messes, vêpres et autres services sacrés tels qu'on aurait pu les entendre dans l'Italie du 17e siècle, en alternant des pièces extraites d'oeuvres de compositeurs contemporains et proches géographiquement. Par dessus tout, ce sont les ors de Venise qui attirent le plus les musiciens tentés par l'exercice.
Du 24 au 29 septembre 2012 s’est tenue à Leuze la 3e édition du Concours International de Piano André Dumortier. Sous l’impulsion de Marie-Claire Hochedez, coordinatrice, de Walter Denis, pianiste et professeur (duo guidé par André Dumortier) et du regretté Michel Hallynck, alors Directeur de l’IMEP à Namur, la première édition du concours eut lieu en 1994 sous l’appellation Biennale de Piano de Leuze-en-Hainaut.
Joseph Kaiser (Flamand), Michaela Kaune (Die Gräfin) et Adrian Eröd (Olivier)
© Opéra national de Paris/ Elisa Haberer
Comédie en musique et pastiche néo-classico-baroque: ainsi pourrait-on présenter ce Capriccio de Richard Strauss (son dernier ouvrage scénique, créé le 28 octobre 1942 à Munich) sous-titré par lui-même Ein Konversationstück für Musik.