Marie-Nicole Lemieux et la leçon de chant 

par

Hector Berlioz (1803-1869) : Les Nuits d’été, Op.7 ; Camille Saint-Saëns (1835-1921) : Mélodies persanes Op.26 ; Maurice Ravel (1875-1937) : Shéhérazade, M.41. Marie-Nicole Lemieux contralto ; Orchestre philharmonique de Monte-Carlo, Kazuki Yamada. 2021 et 2022. Livret en français, anglais et allemand. Texte chanté en : français. 70’54. Warner Classics 504197659409. 

Nicholas Angelich, le plus beau des hommages

par

Nicholas Angelich. Hommage. Oeuvres de Franz Liszt (1811-1886), Alexander von Zemlinsky (1871-1942), Johann Sebastian Bach (1685-1750), Johannes Brahms (1833-1897), Maurice Ravel (1875-1937), César Franck (1822-1890), Béla Bartók (1891-1945), Ludwig van Beethoven (1770-1827), Modest Mussorgsky (1839-1881) :, Serge Rachmaninoff (1873-1943). Nicholas Angelich, Martha Argerich, Myung-Whun Chung  pianos ; Quatuor Ebène;  Claude Gengembre, Camille Baslé, percussions ; Orchestre philharmonique de Radio France, Orchestre national du Capitole de Toulouse, Myung-Whun Chung  et Tugan Sokhiev. Enregistrements de concerts 1995-2019. Livret en français, anglais et allemand. 7 CD Warner 5054197676185. 

Musique sacrée à la Cour des Gonzague : de Mantoue à… Capoue ?

par

Splendours of the Gonzaga. Claudio Monteverdi (1567-1643) : Confitebor III alla francese ; Laetaniae della Beata Vergine ; Cantate Domino. Benedetto Pallavicino (c1551-1601) : Dum complerentur ; Misericordias Domini. Salomone Rossi (c1570-1630) : Keter yitnu ; Yesurum midbar. Giaches de Wert (1535-1596) : Adesto dolori meo ; Omnis homo primum ; Speremus meliora omnes. Giovanni Giacomo Gastoldi (c1554-1609) : Magnificat VIII toni ; Regina coeli. Amante Franzoni (1575-1630) : Dixit Dominus VI toni. Biscantores, Luca Colombo. Luciana Elizondo, viole de gambe. Giangiacomo Pinardi, archiluth. Gianluca Viglizzo, orgue. Livret en italien, anglais, français (paroles des chants avec traduction trilingue). Septembre 2020. TT 63’55. Arcana A545

Karajan à Lucerne, la construction du mythe 

par

Herbert von Karajan. The Early Lucerne Years 1952-1957. Oeuvres de Ludwig van Beethoven (1770-1827), Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), Johann Sebastian Bach (1685-1750), Johannes Brahms (1833-1897), Arthur Honegger (1892-1955). Robert Casadesus, Clara Haskil, Géza Anda, pianos ; Nathan Milstein, violon ; Elisabeth Schwarzkopf, soprano  ; Elsa Cavelti, alto ; Ernst Haefliger, ténor ; Hans Braun, basse ; Vienna Singverein, Wiener Symphoniker, Swiss Festival Orchestra, Philharmonia Orchestra, Herbert von Karajan. 1952-1957. Livret en allemand, anglais et français. 3CD et Téléchargement (Messe en si de Bach)/. Audite 21.464. 

Lucilin invite le fantôme du piano sous les poutres des Capucins

par

Rarement à la traîne quand il s’agit de faire connaître les musiques d’aujourd’hui, les musiciens de United Instruments of Lucilin endossent, à leur tour, le rôle de curateur à carte blanche dans un cycle au programme en forme d’ouverture, avide de sensibiliser les publics aux liens entre les musiques et, en particulier, avec celle des 20e et 21e siècles : électronique, vidéo, slam, poésie, improvisation, engagement sont certains des ingrédients qui émergent des éditions (mensuelles) précédentes, quand ce soir ce sont le texte et la réinvention aujourd’hui à partir d’œuvres d’hier qui décident du programme, donné à l’étage du Théâtre des Capucins, une pièce chaleureuse sous la charpente vernie où une cinquantaine de chaises attendent presqu’autant d’auditeurs -car les lieux aussi, parfois insolites, sont complices de cette envie de fouiner, de mettre son nez dans des endroits où l’acoustique ne se serait pas spontanément révélée.

L’idée du violoniste André Pons-Valdès pour ce Lucilin in the City #7 part de pièces pour piano de Brahms, Chopin ou Scriabine -fils révolté, le contemporain, né après la Seconde Guerre mondiale d’une tabula rasa radicale, entrouvre la porte à ses origines-, qu’il propose à des compositeurs de retravailler, selon leur point de vue actuel et pour un effectif instrumental qui joint clarinette (Max Mausen) et quatuor à cordes -exit le demi-queue, et le sous-titre du concert, Piano fantôme, s’impose. Il complète alors le tout des lectures de son ami Jean-Pierre Pinet -pédagogue, flûtiste et chef d’orchestre, il s’intéresse autant à la création contemporaine qu’à la musique ancienne-, dont la voix claire et convaincue introduit chaque morceau.

Réédition audiophile du légendaire cycle beethovénien de Furtwängler

par

5054197138881 Furtwängler Beethoven SACD.indd

Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Symphonies no 1 en ut majeur Op. 21, no 2 en ré majeur Op. 36, no 3 en mi bémol majeur Op. 55, no 4 en si bémol majeur Op. 60, no 5 en ut mineur Op. 67, no 6 en fa majeur Op. 68, no 7 en la majeur Op. 92, no 8 en fa majeur Op. 93, no 9 en ré mineur Op. 125. Wilhelm Furtwängler, Orchestre philharmonique de Vienne, Orchestre philharmonique royal de Stockholm, Chœurs et orchestre du Festival de Bayreuth. Elisabeth Schwarzkopf, soprano. Elisabeth Höngen, contralto. Hans Kopf, ténor. Otto Edelmann, basse. 1948 1954. Livret en français, anglais, allemand. TT 78’05, 68’34, 74’48, 71’03, 77’21, 35’10. Warner Classics 5054197138881

Léon Berben retend le dessin et magnifie le clair-obscur des Psaumes et Fantaisies de Van Noordt

par

Anthoni Van Noordt (c. 1619-1675) : Tabulatuurboeck van Psalmen en Fantasyen. Psaumes 5, 65, 100, 116 ; Daphne [Manuscrit Camphuysen d'Utrecht]. Psaumes 5, 24, 66, 100, 116 [Lübbenauer Tabulatur, Berlin]. Léon Berben, orgue Van Hagerbeer de la Pieterskerk de Leiden. Livret en anglais, allemand, français. Janvier 2022. TT 76’45 + 78’43. Ramée RAM 2201

Der Schatzgräber de Franz Schreker à Berlin : un trésor retrouvé

par

Franz Schreker (1878-1934) : Der Schatzgräber, opéra en un prologue, quatre actes et un épilogue. Daniel Johansson (Elis), Elisabeth Strid (Els), Michael Laurenz (Le Bouffon), Tuomas Pursio (Le Roi), Doke Pauwels (La Reine), Thomas Johannes Mayer (Le Bailli) ; Chœurs et Orchestre du Deutsche Oper Berlin, direction Marc Albrecht. 2022. Notice et synopsis en anglais et en allemand. Sous-titres en allemand, en anglais, en français, en japonais et en coréen. 165’00’’. Un DVD Naxos 2. 110761. Aussi disponible en Blu Ray.

L’Accademia Bizantina, intense et généreuse dans les Concerti Grossi de Haendel

par

The Exciting Sound of Baroque Music. Georg Friedrich Haendel (1685-1759) : Six Concerti grossi Op. 3 HWV 312-317. Douze Concerti grossi Op. 6 HWV 319-330. Ottavio Dantone, clavecin, direction. Accademia Bizantina Orchestra. Livret en italien, anglais. Janvier, juillet 2020. Coffret de quatre CDs : 55’47, 45’29, 61’00, 54’08. HDB Sonus HDB-AB-ST-002