Un duo pianistique à suivre

par

Darius MILHAUD
(1892 - 1974) :
Scaramouche Op. 165B
Claude DEBUSSY
(1862 - 1918)
En blanc et noir
Marcel COMINOTTO
(°1956) 
Arborescences
Sergueï RACHMANINOV
(1873 - 1943)
Suite n°2
Luc BAIWIR
(°1958) 
Rhapsodie
Johan Schmidt et Gabriel Teclu, pianos
2017-DDD-69’12-Aucun texte de présentation-Azur Classical-AZC152

Colloque "Saint-Saëns à pleine voix"

par

Fidèle à sa tradition, l'Opéra-Comique a mis sur pied un colloque de trois jours, cette fois sur le thème des relations entre Saint-Saëns et la voix, dans le cadre de la production de l'opéra Le Timbre d'argent à la salle Favart. Mélodies, musique religieuse, cantates, oratorios, et, bien sûr, les treize opéras, tout a été abordé. Avant de détailler les différents exposés, il faut rappeler que ce colloque se déroulait dans le cadre du Festival Palazzetto Bru Zane - Centre de musique romantique française, tenu à Paris du 7 au 19 juin 2017, dans cette prestigieuse salle Favart, mais aussi au Théâtre des Champs-Elysées et au Théâtre des Bouffes du Nord.

L’Opéra de Paris côté symphonique

par

Modest MOUSSORGSKI
(1839 - 1881)
Tableaux d’une exposition (orchestration de Maurice Ravel)
Sergei PROKOFIEV
(1891 - 1953)
Symphonique n°1 en ré, Op. 25, dite « Classique »
Orchestre de l’Opéra National de Paris, Philippe Jordan, direction
2017-DDD-47’36-Textes de présentation en français, anglais et allemand-Erato-0190295877910

Un compositeur qui sort de l'ombre

par

Kazimierz SEROCKI
(1922 – 1981)
Forte e Piano - Pianophonie

Szaboles Esztenyi, piano, Orchestre Symphonique de la Radio et de la Télévision Polonaises à Cracovie et à Katowice, dir. Stanislaw Wistocki-Enregistrements 1973 et 1979
2017-DDD-45’23-Livret en polonais et en anglais-DUX 1287

Une  Phèdre oubliée surgit de l'oubli

par
Phèdre

Enguerrand de Hys et Thomas Dolié © Grégory Forestier

Phèdre de Jean-Baptiste Lemoyne
Jean-Baptiste Lemoyne (1751-1796) fut élève de Graun, puis chef d'orchestre de Frédéric de Prusse. Il resta ensuite en France où il rencontra Gluck. Très influencé par celui-ci, puis par son rival Piccinni, il écrivit non moins de 15 ouvrages, dont une Electre (1782), qui fit polémique par sa violence. Créée quatre ans plus tard, au Château de Fontainebleau, Phèdre plut davantage par un dramatisme moins outrancier, par un lyrisme plus présent (le rôle-titre était tenu par la célèbre Mlle Saint-Huberty, étoile de l'Opéra de Paris), et par de magnifiques ballets. 

La Flûte enchantée selon Maurice Béjart

par

© francois-paolini

Un passage surélevé avec escaliers latéraux, une étoile au sol avec un homme en noir couché bras et jambes en croix, une hydre comme un dragon chinois s’attaquant à un égaré, tels sont les premiers clichés qui émanent de La Flûte enchantée dans la réalisation chorégraphique que Maurice Béjart avait présentée une première fois en mars 1981 avec le Ballet du XXe siècle au Cirque Royal de Bruxelles.

Bravo Cecilia !

par
Bartoli

© Festspiele Salzburger / Monika Rittershaus

Le Festival de Pentecôte de Salzbourg
La sixième édition des « Salzburger Pfingstfestspiele » sous la direction artistique de Cecilia Bartoli présentait de nouveau une affiche à thème, bien équilibrée et d’un haut niveau artistique. « Wonne der Wehmut » (Joie de la mélancolie) était le fil conducteur du programme qui offrait en quatre jours deux représentations d’un spectacle d’opéra (Ariodante de Händel), un opéra en concert (La donna del lago de Rossini), un ballet classique (La Sylphide de Bournonville), et trois concerts.