Au Concert

Les concerts un peu partout en Europe. De grands solistes et d’autres moins connus, des découvertes.

Ars Musica 2014

par

Enrique Mazzola © Martin Sigmnd

Walter Hus et Steve Reich donnent le ton
Une des grandes particularités d’Ars Musica 2014, c’est l’accent mis sur des compositeurs belges. On n’en parle pas assez, mais ils sont aujourd’hui fort nombreux et souvent des plus doués et des plus inventifs : Claude Ledoux, Todor Todoroff, Michel Fourgon, Thierry De Mey, Peter Vermeersch, Jean-Paul Dessy, Michel Lysight, Jean-Luc Fafchamps, Walter Hus…

Triomphe pour Cecilia Bartoli !

par

© Uli Weber

Œuvres de Raupach, Araia, Dall’oglio, Veracini, Porpora, Manfredini, Hasse Cécilia Bartoli, mezzo – I Barocchisti, Diego Fasolis, direction Loin des classiques habituels, Cécilia Bartoli s’est produite sur la scène du Palais des Beaux-Arts ce jeudi 13 novembre 2014. Loin, puisque la mezzo apprécie l’innovation et aime se pencher sur des œuvres et répertoires trop peu connus du public, un répertoire surprenant, riche et expressif.

Les couleurs de l'ONL

par

Maurice Ravel (1875-1937) : Alborada del gracioso – Concerto en sol
Claude Debussy (1862-1918) : Prélude à l’après-midi d’un faune
Igor Stravinsky (1882-1971) : Petrouchka (version 1911)
Orchestre National de Lille, Eivind Gullberg Jensen – Louis Lortie, piano

Les cordes de l'Espagne

par

© Josep Molina

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) : Quatuor à cordes en sol majeur KV 80
Enrique Granados (1867-1916) : Pequeña Romanza
Maurice Ravel (1875-1937) : Quatuor à cordes
Dimitri Chostakovich (1906-1975) : Quatuor à cordes n°4 op. 83
Cuarteto Casals

Volodos, le confident

par

© Uwe Arens

Franz Schubert: Sonate pour piano, D 279, Allegretto, D 346 Johannes Brahms:  6 Klavierstücke, op. 118 Robert Schumann:  Kinderscenen, op. 15 ; Fantaisie, op. 17 Arcadi Volodos est une légende vivante. Peu de pianistes égalent sa technique transcendante et sa maîtrise du son.

Herbert Schuch : invité en résidence à Bozar

par

Tristan Murail (1947) : Cloches d’adieu, et un sourire… in memoriam Olivier Messiaen
Franz Liszt (1811-1866) : « Pater noster » - «Bénédiction de Dieu dans la solitude » - « Funérailles », pièces issues des Harmonies poétiques et religieuses

Johann Sebastien Bach : (1685-1750) : Choral « ich ruf’ zu dir, Herr Jesu Christ », BWV 639 (arr. F. Busoni) – Aria « Die Seele ruht in Jesu Händen », BWV 127 (arr. H. Bauer)
Maurice Ravel (1875-1937) : « La vallée des cloches » (Miroirs)
Olivier Messiaen (1908-1992) : « Cloches d’angoisse et larmes d’adieu » (Huit préludes)
Herbert Schuch, piano

Impériale Uchida !

par

© Justin Pumfrey / Decca

Une longue carrière, menée avec une réelle humilité face à la musique, limitée à un nombre relativement restreint d'oeuvres puisées dans un répertoire très classique: voici sans doute la raison fondamentale de la familiarité évidente de Mitsuko Uchida avec les pages de Schubert et Beethoven qu'elle a abordées ce 12 octobre, un univers qu'elle côtoie quotidiennement depuis tant d'années.

Jensen à Lille

par

Maurice Ravel (1875-1937) : Alborada del gracioso – Concerto en sol majeur
Claude Debussy (1862-1918) : Prélude à l’après-midi d’un faune
Igor Stravinsky (1882-1971) Petrouchka (version 1911)
Orchestre National de Lille, Eivind Gullberg Jensen - Louis Lortie, piano
Eivind Gullberg Jensen revient à l’Orchestre National de Lille dans un programme coloré et audacieux. Historiquement pas si éloignées, les quatre œuvres se profilent dans des ambiances et des styles différents.

Voltaire et Rameau : une rencontre au sommet

par

Rameau et Voltaire. Temple de la gloire, caricature par Campion de Tersan, 1763.

Le Temple de la Gloire (Rameau)
Voltaire était-il musicien ? Déjà, en 1736, il faisait dire à son Mondain, qui exaltait le bonheur de vivre de l'époque :
" Il va siffler quelque opéra nouveau,
" Ou, malgré lui, court admirer Rameau".